Tandoku Renshu : pourquoi et comment

Tandoku Renshu : pourquoi et comment

Tandoku Renshu : pourquoi et comment ?

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On a beaucoup parlé du Tandoku Renshu pendant le confinement. Pourtant ça existait, bien sûr, avant ! Tous les grands champions l’intègrent dans leur préparation, qu’ils appellent ça leurs gammes, leur danse, leur mise en condition… Peu importe, ils se créent leurs propres séances solo judo.

Cela fait des années que je fais pareil, à double dose lorsqu’une compétition approche. J’aime tellement ça que j’ai créé le tout premier programme de Secrets de Judokas, pour partager mes séances !

Ici, je vous explique tout ce qu’il vous faut savoir si vous souhaitez créer vos propres séances. Je vous parlerai aussi de ce programme que je vous invite vivement à rejoindre si vous avez envie de progresser dans votre judo !

S’inspirer des plus grands pour progresser

Tout a commencé lorsque j’ai voulu m’engager dans la compétition. J’étais dans un club totalement loisirs et avec le seul judoka qui faisait de la compétition, nous cherchions, tous les 2, comment nous entraîner en plus du club. On cherchait partout, sur internet, dans les autres clubs, à l’étranger, dans les stages au Japon, comment faisaient les judokas excellents.

Comment progresser plus vite, mieux ?

J’avais entendu que le point commun de tous les sportifs qui marquent l’histoire de leur sport, les meilleurs des meilleurs, c’était leur sens du détail. Des sportifs qui cherchent à optimiser chaque seconde, chaque geste. J’avais lu que Mickael Jordan avait travaillé la position de sa main au sol pour gagner quelques millièmes de secondes dans sa façon de se relever… Ça m’avait marquée. Et surtout, ça m’avait parlé car Jigoro Kano parle de l’utilisation optimale de l’énergie.

Depuis mon tout petit niveau, mes quelques heures de disponibles le soir après le travail, mes 2 ou 3 cours par semaine au dojo :

Comment puis-je optimiser chaque instant, chaque partie de mon travail pour progresser et profiter des compétitions plus rapidement ?

Parmi pas mal de découvertes et d’expérimentations, je veux vous parler aujourd’hui du tandoku renshu. La 1ère fois que j’ai vu ça, c’était dans un reportage sur Koga où on le voyait faire des Seoi dans le vide. Ippon seoi, morote seoi… Peu importe, c’était ce mouvement d’épaule où l’on fait un demi-tour sur soi-même pour projeter le partenaire par-dessus son dos. Deux choses m’avaient alors surprise :

– la 1ère, c’est qu’on le voyait pratiquer des Taïsabaki (ces fameux demi-tours) vraiment de base, simples. À droite et à gauche, pas très rapides mais très précis… Je trouvais ça fou qu’un champion de ce niveau-là fasse ces exercices que l’on apprend dès la ceinture blanche

– la 2ème chose, c’est qu’on le voyait aussi pratiquer des Seoi seul avec un élastique, rapides et très engagés. Il transpirait à grosses gouttes et chaque répétition était faite à fond. J’ai voulu essayer dès le lendemain et je me suis aperçue que j’étais incapable d’avoir sa vitesse ni même sa précision. Dès que j’accélérais, je perdais l’équilibre, la technique n’était pas belle… Et pour avoir de la qualité, je devais vraiment aller lentement.

Comprendre l’utilité du Tandoku Renshu

À partir de là, j’ai compris qu’il y avait quelque chose et que, « ce n’était pas normal » qu’en tant que judokate, je ne sois pas capable de faire cet exercice. J’avais vraiment une marge de progression. J’ai surtout réalisé que si je ne savais pas le faire seule, comment pouvais-je réussir avec un partenaire qui bouge, se défend, esquive ? Impossible.

Dans les semaines qui ont suivi, c’était comme si mes yeux s’étaient soudainement ouverts. Je voyais des dizaines de judokas de haut-niveau faire ce type d’exercices, seuls. Teddy Riner parle de ses gammes, il se déplace dans le vide et enchaîne ses différentes techniques. Un reportage sur Loic Korval le montre également, en survêt baskets dans un grand champ, seul au monde, et il fait ses répétitions. Etc, etc.

Commencer avec le plus simple, mais le plus austère.

C’est comme ça que mon histoire avec le Tendoku Renshu a démarré. J’ai commencé de façon très simple, avec quelques techniques. Plus j’ai pratiqué, plus j’ai enrichi mes séances. J’ai compris les exercices qui me faisaient progresser, là où je voyais la différence au dojo. Je devenais plus à l’aise, j’avais plus de réflexes adaptés, ma posture était bien meilleure. Finalement, en plus de mieux réussir les techniques que je voulais passer, j’avais plus de plaisir. Je me sentais mieux car moins dans la force, je fatiguais moins vite. Du coup, j’ai continué. Je sais aujourd’hui que je n’arrêterai plus jamais, quelque soit mon niveau. Ces exercices m’apporteront toujours énormément.

Est-ce qu’il suffit de répéter des centaines de fois la même technique dans le vide ?

OUI. Répéter 100 fois, 500 fois, 1000 fois la même technique, ça a un pouvoir assez hallucinant. La seule et unique difficulté, c’est que ça peut être monotone. C’est pourquoi j’ai créé des séances plus variées pour avoir toujours envie de m’y mettre. J’aime la nouveauté donc c’est ce qui me correspond le mieux. Cela dit, avant de vous parler de ces séances variées et de vous donner les clés pour que vous puissiez en faire, laissez-moi tout de même vous dire quelques mots sur les répétitions d’une seule technique.

1 pause entre chaque série de 100, divisée en 4*25

Je pratique cet exercice de façon très fréquente avant une compétition, et de façon plus aléatoire sinon. Dans tous les cas, ça remplace mon footing au niveau cardio et transpiration. À rythme bien soutenu, c’est efficace !

Je travaille par série de 25, c’est plus facile pour compter ensuite les centaines. J’alterne droite et gauche. Je fais une pause de 2 à 3 minutes environ à chaque centaine. Pour faire mes 1000, il me faut 45 à 50 minutes, ce qui fait un bon format de séance. Ça me permet aussi de faire des demi-séances : 500 répétitions en 25 minutes, c’est parfait pour le matin avant le travail par exemple.

Le miracle de son propre corps

Lorsqu’on se concentre vraiment sur nos répétitions, qu’on fait attention à ce qu’on fait, qu’on imagine qu’on est sur un tatami avec un partenaire dans sa tête, il y a toujours un moment où on RESSENT le progrès. Et j’ai bien dit RESSENTIR, dans LE CORPS, ce progrès ! Un infime décalage pour l’équilibre, une position de la tête, d’une main, peu importe mais ça se ressent dans le corps ! C’est extraordinaire. On ne peut pas prédire à quel moment, c’est toujours une surprise. Mais ça n’arrive jamais avant 200 répétitions minimum… C’est vraiment avec le nombre que ce déclic peut se passer. Et avec l’attention, la concentration, l’engagement, la sincérité de chaque répétition. À chaque répétition, imaginez que vous mettez ippon, sincèrement. Si les répétitions sont faites mécaniquement, en pensant à autre chose, ça vous fera transpirer, certes. Mais ça n’aura aucune efficacité technique et surtout, n’ayant pas ces déclics, ça augmentera le risque de répéter une erreur.

La puissance du Shin Gi Taï

C’est ce que je trouve extraordinaire dans le travail en solo : s’il est fait avec l’esprit, le SHIN, on s’auto-corrige par ses sensations et on a soudainement un pouvoir illimité sur sa propre progression. On peut être son propre enseignant… Mais à l’inverse, si le SHIN n’est pas là, si l’esprit est ailleurs et ne s’investit pas au même titre que notre corps, alors rien ne se passe et même, potentiellement, on empire les choses.

Ce n’est pas pour rien que ma lettre mensuelle (uniquement pour les membres de ma liste privée que vous pouvez rejoindre ici : secretsdejudokas.com/shin-gi-tai) s’appelle la Shin-Gi-Tai.

Avoir des séances toujours variées

Une fois qu’on connaît ces séances simples, directes, efficaces, que sont les répétitions d’une seule technique plusieurs centaines de fois, à droite et à gauche, on peut se demander comment construire des séances plus variées.

Ça tombe bien, parce qu’il n’y a pas que la technique à travailler en judo.

Il y a beaucoup d’autres choses : les déplacements, l’équilibre, la souplesse, les capacités physiques, la coordination etc. Listez toutes les compétences dont un judoka a besoin. Puis, regardez pour chacune d’elles ce qu’on ne fait jamais ou trop peu au dojo. Vous avez ce qui va constituer vos séances judo solo. Cela fait 5 ans maintenant que je les pratique, elles ne sont jamais pareilles. Je m’amuse à chaque fois et surtout, je sais que je suis là où il faut être : là où mon énergie est utilisée de façon optimale.

Le meilleur pour chaque moment, chaque environnement.

Je viens de vous le dire, il s’agit de regarder ce qu’on fait peu, ou pas, au dojo. Pensez-y : le cours de judo est collectif, vous avez la chance de travailler avec des partenaires, et vous avez plein de niveaux différents. Du coup, forcément, tout ce qui nécessite un travail seul, où on prend plus le temps, avec des exercices adaptés vraiment à son niveau, c’est plus compliqué au dojo. C’est donc ce qu’on va cibler. Et c’est le secret numéro 1 : toujours se demander si l’exercice que je choisis, c’est le meilleur endroit et le meilleur moment pour le faire, étant donné les circonstances.

Les 3 critères à vérifier 

Personnellement, dans mes séances, celles que je partage d’ailleurs dans le programme Secrets de Judokas, j’ai plus d’une centaine d’exercices :

– qui DOIVENT se pratiquer seuls, on ne peut pas les pratiquer avec un partenaire.

– qui DOIVENT se pratiquer à un rythme adapté. On doit vraiment commencer au rythme où on sait le faire pour accélérer très progressivement, parce que si on commence à un rythme trop élevé, on n’y arrive pas, tout simplement.

– qui DOIVENT se répéter beaucoup. Des exercices que, si notre professeur nous les fait faire parfois en début de cours, on peut mettre des mois, voire des années, pour les maîtriser de mieux en mieux.

Si vous avez ces 3 conditions, (sans partenaire / rythme adapté / beaucoup de répétitions) alors vous êtes à peu près sûrs que c’est efficace de les pratiquer chez vous, par vous-mêmes.

Faire la liste des compétences judo.

La 2ème chose, c’est de repérer toutes les habiletés dont vous avez besoin pour le judo. Personnellement, j’ai construit 6 catégories qui correspondent AUSSI à un niveau de complexité différent. Ça me permet de naviguer entre ces niveaux de complexité. Un peu comme notre Koga continuait à revenir aux taisabaki de base, de débutants, tout en alternant avec des répétitions engagées, rapides, de compétiteur.

Alors voilà mes 6 catégories, vous pouvez les reprendre mais aussi, bien sûr, vous construire les vôtres !

6 catégories pour construire ses séances

1- Déplacements ET kumikata.

J’associe les deux de façon à toujours avoir les mains bien placées lorsqu’on travaille seul. Le piège, ce serait d’avoir les mains qui se baladent un peu n’importe où, ou qui pendent le long du corps… Du coup, on perd l’attitude. N’oubliez pas, toujours l’attention, l’implication maximale. Donc tout le corps, même les mains, est engagé. Soit en position kumikata (1 au col, 1 à la manche, et c’est imaginaire), soit devant soi, prêtes à agir. 

Il y a mille choses à travailler, encore et encore. Commencer ses séances par cette catégorie, c’est aussi le meilleur moyen de s’échauffer ! Visez la précision, la vitesse bien sûr mais petit à petit, sans brûler les étapes. Comme je dis toujours :

Si la vitesse mange la qualité, c’est pas bon.

La qualité, toujours prioritaire !

En bas de page, à la fin de l’article, demander le .pdf à télécharger pour recevoir un complément, dont des exemples.

2- Les techniques en forme fondamentale

On reprend la technique, lentement, à sa base. On peut la découper en plusieurs exercices de renforcement musculaire directement liés. L’avantage de découper une technique dans sa forme fondamentale, c’est qu’on retrouve la posture, la mise en déséquilibre, les positions correctes… Cette mise en séquence permet vraiment d’acquérir une forme de corps qui pourra aller loin, c’est-à-dire :

– sans blessure. Quand on voit des judokas qui se servent de leurs reins pour soulever, ils risquent la blessure soudaine ou la blessure à long terme.

– avec une liberté d’adaptation. Quand on a la forme fondamentale, on peut utiliser ensuite toutes les variantes beaucoup plus facilement et avec un geste juste.

Votre forme fondamentale est comme le tronc d’arbre : plus il va être gros, solide, stable, plus les branches qui vont en émaner vont être nombreuses et belles.

3- Les actions/réactions

On monte en complexité et on associe les techniques fondamentales à un déplacement … Avec tous les sens d’exécution, dont les actions-réactions. Cela veut dire qu’on va créer une réaction chez le partenaire, dont on va se servir pour faire notre technique. Par exemple, si je reprends l’exemple des Seoi assez universel : c’est une technique avant. Elle est extrêmement efficace lorsque le partenaire avance sur nous. Mais pour les partenaires qui n’avancent pas, on va chercher à provoquer cette avancée dont on a besoin pour placer notre Seoi. Pour provoquer une avancée, rien de mieux que d’agir en sens inverse lorsqu’on est en situation d’opposition. Je pousse le partenaire vers l’arrière, son réflexe va être de résister et de revenir vers l’avant. Parfait, j’ai le déplacement que je voulais, je peux tourner et le faire passer par-dessus mon dos. Bien sûr, les actions réactions sont utiles en situation d’opposition, de résistance ! Si je fais randori avec un enfant ceinture orange, lorsque je le pousse, il recule, il ne résiste pas… Donc dans ce cas, l’action réaction n’a pas lieu d’être. 

Travaillez les actions réactions, seuls chez vous, à partir de vos techniques préférées

Justement parce que vous êtes seul, vous n’utilisez aucune force et c’est donc tout le reste qui est sollicité. Vos sensations, votre fluidité, votre posture, exactement ce qui est plus difficile à travailler lorsqu’on est avec un partenaire. Sauf si vous avez un partenaire excellent, avec une bonne adéquation par rapport à vous, mais ça, ce n’est pas courant !

4- les variantes des techniques.

Je ne vais pas m’y attarder mais généralement, plus on monte en niveau, plus on utilise les techniques dans des formes qui nous conviennent mieux, qui sont plus adaptées aux combats aussi. Elles sont issues de la forme fondamentale mais elles ont leurs spécificités. C’est aussi une catégorie à travailler car c’est intéressant de repérer ces différentes formes, que les différences soient au niveau de l’entrée de la technique, au niveau du kumikata, au niveau du type de déséquilibre etc.

5- Les enchaînements.

Là, il y a un boulevard de travail ! Comme son nom l’indique, ce n’est pas très compliqué, il s’agit d’enchaîner plusieurs techniques en imaginant que le partenaire esquive ou bloque. C’est assez génial à faire seul car on progresse énormément en coordination.

Évidemment, ces enchaînements sont faits avec justesse c’est-à-dire avec tout le corps engagé, depuis le kumikata, à la posture générale, la tête, le regard… Souvent, lorsqu’on commence à vouloir travailler les enchainements, il n’y a que les jambes qui travaillent et en haut, tout est en roue libre ! Là, le but, c’est justement la précision et le geste juste ! Et pour ça :

un seul secret, commencer doucement.

Il faut déjà être à l’aise sur les 4 premières catégories pour commencer cette 5ème !

6- mise en application 

C’est ce que j’appelle les randori solo… Il s’agit en fait de ré-investir tout ce qu’on a travaillé durant la séance dans une forme similaire au randori. On va mixer des déplacements avec le bon kumikata, des techniques sans résistance, donc en forme fondamentale, des techniques en action réaction, des variantes, des enchainements. Un cocktail général !

Il y a 3 intérêts à cette catégorie très importante :

– d’abord, le cardio monte davantage et il est plus difficile d’être précis et juste lorsqu’on est essoufflé

– Ensuite, le fait de tout mixer vous fait, encore une fois, progresser dans votre coordination et vos réflexes. C’est un autre type d’exercice. Passer de pas chassés à droite à O soto gari, enchainer sur Sasae et repartir en tsugi ashi avant etc.

– Enfin, le dernier intérêt, c’est de faire un lien direct entre votre travail seul, chez vous, et la façon dont vous allez l’utiliser au dojo. Comme un trait d’union. C’est super important que cette connexion se fasse pour pouvoir bénéficier de vos progrès au dojo.

LA VISUALISATION : LA CLÉ

Il reste encore un élément super important si tu te lances sur ce type de séance pour progresser, par toi-même, et mieux profiter ensuite du tatami, c’est la VISUALISATION !

J’ai déjà dit qu’il fallait imaginer le partenaire, imaginer qu’on met ippon à chaque fois, imaginer qu’on a un vrai kumikata etc. Alors je pourrais faire un article entier sur la visualisation tant c’est utile, tant les recherches sur ce sujet sont passionnantes, et tant les témoignages de sportifs qui l’utilisent sont pleins d’enseignements. Pour l’instant, arrêtons-nous simplement sur ça :

– faire un exercice en pensant à rien ou à autre chose, aura 10% d’efficacité maximum, sûrement moins encore

– faire ce même exercice en se concentrant sur ce qu’on fait, en étant attentionné : 50% d’efficacité, c’est déjà beaucoup mieux.

– et ce même exercice en s’imaginant dans la situation où il va nous être utile, là on est proche du 100%. C’est incroyable.

Un exemple très concret, qui m’est arrivé et qui était flagrant, c’était lorsque j’étais au lycée.

Apprendre une leçon. Inutile de préciser que lorsqu’on essaye d’apprendre avec l’esprit qui papillonne, on y passe un certain nombre d’heures et c’est douloureux… Bon. Mais côté concentration et attention, je m’en sortais plutôt bien, j’apprenais ma leçon et je la savais. Pour la réciter devant ma mère, là déjà, il y avait des trous que je n’avais pas perçus.

MAIS, si je l’apprenais en imaginant que j’allais la réciter à ma mère un peu plus tard, alors je n’avais plus aucun trou au moment de le faire. Je me projetais dans le moment où j’allais l’utiliser.

Mieux encore : j’étais assez agacée de constater qu’en fin de trimestre, des leçons très bien sues 2 mois plus tôt s’étaient à moitié envolées. Je me suis mise à apprendre mes leçons en m’imaginant à la fin de l’année, au bac par exemple, en train de les utiliser. Et je vous jure que ça a marché de façon incroyable… !

Pour le judo, je vous assure que ça fonctionne de la même façon. Et ce n’est pas pour rien que tous les champions passent des heures à visualiser le jour J !

Pourquoi on ne l’utiliserait pas, nous, pour nos entrainements du quotidien ?

Si vous êtes seul, imaginez-vous au dojo avec un partenaire,

si vous êtes en uchikomi, imaginez vous en randori,

si vous êtes en randori… imaginez que vous êtes le meilleur judoka que vous admirez le plus, c’est vous, il est entré dans votre peau et vous êtes rapide, souple, efficace…

Et si vous êtes en compétition alors ? 

Imaginez que votre « vieux vous » que vous serez dans 20 ans a déjà tout vu, connait déjà votre réussite. Imaginez que vous êtes juste à ce moment précis de votre parcours magnifique. Donc quoiqu’il arrive, vous savez déjà que votre parcours est magnifique. On rentre dans un sujet de prépa mentale, mais je tenais vraiment à insister sur la puissance de la visualisation ! Jouez avec, amusez-vous, utilisez-là. Vous pouvez doubler, tripler vos résultats avec le même travail, ça vaut le coup !

Et le programme Secrets de Judokas ?

Alors, maintenant que tout ça est expliqué, vous allez rapidement comprendre le principe du programme Secrets de Judokas. C’est en fait le fruit de mon expérience de plusieurs années sur ce type de séances, et j’en suis absolument convaincue. J’ai donc décidé de partager 20 séances, de 25 à 40 minutes chacune. Cette durée est idéale, facile à caser un soir, facile à cumuler 2 ou 3 d’affilées pour un gros bloc le weekend si besoin… Et ces 20 séances sont organisées pour avancer de façon progressive. J’y inclus tous les éléments dont je vous ai parlé et l’avantage, c’est que durant chaque séance, en vidéo donc, je vous parle en même temps que l’on fait la séance. Ça permet de ne jamais lâcher la concentration, que ce soit sur ses sensations, sa posture, ses mains etc. Ou sur la visualisation bien sûr… 

Je guide toute la séance pour qu’elle soit un maximum efficace.

J’ai rajouté dans ce programme des bonus :

– 3 ateliers-vidéos sur de la préparation mentale,

– un coach-agenda à télécharger pour avoir un super écrit, certains ont vraiment besoin de ça pour visualiser leur travail, leurs efforts, leurs résultats…

– ET, parce que, ceux qui me connaissent, vous savez combien j’aime rencontrer les gens : j’ai créé un groupe privé Facebook qui réunit les judokas inscrits au programme, ce qui permet les échanges, les questions, les partages de victoires, les séances travaillées etc. Donc c’est une très belle émulation… C’est un peu comme un club virtuel où l’on peut retrouver des judokas qui nous ressemblent en fait. Avec l’envie de progresser, prêts à découvrir des nouvelles façons de travailler. 

Si vous voulez profiter de la 4ème édition qui se lance, les inscriptions sont ouvertes jusqu’au 18 juillet 2021 au soir. Je ferme ensuite les portes parce que c’est de cette façon-là qu’on peut créer une ambiance de groupe.

Enfin, si vous faites le choix de rentrer dans le programme, sachez que vous pouvez ensuite l’utiliser À VIE ! Les 20 vidéos et tous les bonus que j’ai cités vous appartiennent, ils sont à vous. Vous pouvez donc vous en servir à tout moment, que ce soit avant une reprise, pour préparer une compétition, pour reprendre la forme, perdre un peu de poids, progresser tout simplement, vous faire vos séances chez vous ! Pour rejoindre le programme : cliquez ici !

Je vous souhaite un magnifique été et je vous dis à très bientôt, pensez à partager cet article aux judokas de votre entourage !

 

 

 

 

 

L’été 2021 au judo !

L’été 2021 au judo !

FAITES DU JUDO CET ÉTÉ !

 

 

Cliquez sur la carte ou cherchez dans le tableau. Les étoiles représentent les stages, les dojo représentent les cours ouverts l’été.

Comités, clubs, professeurs : faites apparaître votre stage ou vos cours d’été en m’envoyant vos informations sur .

 

Cliquez sur le titre de la colonne pour trier via ce critère. Exemple : si vous cliquez sur le mot « dates », le tableau sera trié… par date 🙂

Stage / cours d'étéDépartementVilleDatesJudoka accueillisEnseignants/intervenantsTarifsContact / Inscriptions
Cours d'été00 (Canada)Canada (00)Tout l'étéAdultesn.c.n.c.Demander tous les renseignements à @Alexandre Paysan sur facebook, il vous accueille !
Cours d'été02 (Haut-de-France)Montbrehain, Judo Club Bohainois, 42 rue de prémontTout l'été, le mardi, le vendredi et le dimanche matin
n.cn.cn.cAuprès du président, Marat Sébastien, 0628099715
https://judo-club-bohainois.ffjudo.com/
Cours d'été04 (Provence Alpes Côte d'Azur)Saint Michel BanonTout l'été, Les mardis et vendredis, 19h à 21h, sur inscription uniquement.Ouvert à tous, entrainements libresn.c.http://www.judo-club-st-michel-banon.com/
Tel 0626260912
Cours d'été05 (Provence Alpes Côte d'Azur)Gap, L'ASPTT GAP JUDO (Hautes Alpes)
53 Av Emile Dier
Tout l'été, les mercredis de 19h à 20h30, >> autorisation du professeur du club d'origine requise et licence FFJDA 2020/2021 ou 2021/2022Cadets (ou minimes "costauds") et plusSerge GROSGratuitSerge GROS 0681501377
Cours d'été08 (Grand Est)Nouvion-sur-MeuseJuillet, les lundis et mercredi, de 18h30 à 20hn.c.n.c.GratuitCentre social SNCF
Rue Maurice Lassale
08160 Nouvion-Sur-Meuse
Cours d'été06 (Provence Alpes Côtés d'Azur)Biot, Rond Point de l’Eganaude, Route des DolinesJuillet - les lundis et jeudis
Cours enfants de 17h30 à 18h30
Cours compétiteurs / adultes de 19h à 20h30
Enfants et adultesn.c.GratuitEddy Michelland / 06 87 72 14 65
Stage09 (Occitanie)FoixAout - 27, 28, 29VétéransEgéa Ramon, Mabit René, Munoz Thomas20€ externe / 06 78 97 73 48
Cours d'été11 (Occitanie)Narbonne, 33 avenue de ToulouseTout l'été, tous les mercredi 19h à 20h30 de Minimes à papy n.c.GratuitFacebook de David Arnaud
Stage16 (Nouvelle Aquitaine)La CouronneJuillet - 11 au 17Poussinets à Cadetsn.c295€ en interne 06 60 98 57 94
Stage16 (Nouvelle Aquitaine)La CouronneJuillet - 25 au 31Poussinets à Cadetsn.c295€ en interne 06 60 98 57 94
Stage16 (Nouvelle Aquitaine)La CouronneAout - 22 au 28Minimes à Vétéransn.c295€ en interne 06 60 98 57 94
Cours d'été18 (Centre Val de Loire)Cher, un dojo dans une ville différente chaque jour, voir le planning sur la carte ou sur le site de la ligue http://www.ligue-centre-val-de-loire-judo-jujitsu-da.fr/evenements.htmlTout l'étén.c.n.c.GratuitTout sur le site de la ligue http://www.ligue-centre-val-de-loire-judo-jujitsu-da.fr/evenements.html
Cours d'été22 (Bretagne)PenvénanTout l'été, les mercredis 19h à 20h30 et les dimanches 10h à 11h30n.c.n.c.GratuitSur le site de l'AC PENVENAN JUDO
Cours d'été22 (Bretagne)LangueuxSamedi :
5-8 ans à 14h30
9-11 ans à 15h30
Jujitsu à 16h30
Ado Adultes à 18h00
Mercredi :
5-8 ans à 16h
9-11 ans à 17h
Ado Adultes à 18h00
Enfants et adultesAvec Monique, Marion ou DominiqueGratuitAl Langueux, Jean-Luc Sevin :
Cours d'été24 (Nouvelle Aquitaine)BergeracTout l'été - Le mercredi de 18h30 à 20h00

Le samedi de 17h30 à 19h00.

PPG le dimanche matin à 10h.
(Le mardi à 18h30 avec Claude Dubos, à confirmer)
Enfants et adultesChristian BarthélémyGratuitPrésident de ASPB : Brice Delbecque 0603508105
Cours d'été24 (Nouvelle Aquitaine)DORDOGNE - DOJO DÉPARTEMENTAL
Tout l'été - mois de juillet les mardis et jeudis, puis mois d'août, du 23 au 27Enfants et adultes, voir sur la carte le planningn.c.GratuitComite Judo Dordogne
Cours d'été24 (Nouvelle Aquitaine)DORDOGNE TOUR (multiples villes)Juillet - tous les jours dans une ville différente, voir l'affiche sur la carteEnfants (initiation)n.c.GratuitDordogne Tour
Stage25 (Bourgogne Franche Comté)PontarlierJuillet - 23 au 25VétéransTaurines Philippe90€ externe, 150€ interne / 06 16 01 37 32
Stage26 (Auvergne Rhône Alpes)Saint Donat sur l'HerbasseAout - 23 au 27Enfantsn.c.n.c. ou sur la page facebook : Rhodia Club Loïc Lafont Judo JJB
Stage29 (Bretagne)MilizacAout - 22 au 26Dès minimes jusqu'à vétéransBrélivet François, Cailliau Jérôme, Calvez Caroline et Manu, Guerrey Julien50€ (uniquement cours), 125€ demi-pension (avec parc d'attraction), 200€ interne / 06 22 75 56 72
Cours d'été29 (Bretagne)Saint-Renan, dojo de la salle Bel-Air, rue RacineTout l'été, mardi et vendredi soir, 19h30-21hAdos et adultesn.c.Gratuitn.c
Cours d'été29 (Bretagne)Brest, dojo brestois, 51 rue du château BrestJuillet : Mardis et jeudis soir, de 18h30 à 20h00

Cours adolescents adultes (à partir de 14 ans les débutants ou les ceintures noires sont les bienvenues)
adolescents adultes (à partir de 14 ans les débutants ou les ceintures noires sont les bienvenues)n.c.GratuitPhilippe : 0601989056 -
Cours d'été30 (Occitanie)Rochefort du Gard, Salle Jean GALIAJuillet, Lundi Mercredi et Jeudi 19.00 à 20.30Benjamins à adultesBordet Sébastien
Professeur Vaucluse JUDO et Judo Rochefort du GARD
Gratuitauprès du professeur, Sébastien Bordet 06 61 88 21 43
Cours d'été31 (Occitanie)L'Union
rue du Puy de Sancy
Tout l'été à partir du 5 juillet, sauf le 14 juillet :Lundi =
19h-20h30 JUDO Benjamins et +
20h30-21h45 TAÏSO
Mercredi =
19h-20h15 TAÏSO
20h15-21h45 Judo Benjamins et +
Benjamins et +n.c.GratuitAuprès de Romain Bacha, 0679891011
Cours d'été31 (Occitanie)AussonneJuillet - 1er au 23, les lundi (PPG) et jeudi (Judo) 19h.Minimes et +Olivier et BrunoGratuitJUDO AUSSONNE BUSHIDO,
Tel : 0649218984
Cours d'été31 (Occitanie)Colomiers,
Maison des Sports, 1 rue Abel Boyer
Tout l'été, du Du 5 au 22 juillet et du 16 au 26 août

Lundi et jeudi soir de 19h00 à 21h15
n.c.n.c.GratuitRenseignements auprès d'Alexandre SABY, président de l'US Colomiers Judo Jujitsu Taiso
06 60 06 57 97

www.colomiersjudo.fr
Cours d'été31 (Occitanie)Saint Orens, BUDOKAN ST ORENS
6 Chemin des Tuileries, St Orens
Tout l'été, les lundis et jeudis de 19h30 à 21hCadets et +, jusque vétéransJacques SeguinGratuitn.c.
Cours d'été33 (Nouvelle Acquitaine)LesparreJuillet, les mercredis et vendredisEnfants et adultesn.c.n.c.Président : Patrick LAPOUYADE
tél. 06 22 81 18 26
Cours d'été33 (Nouvelle Aquitaine)Castelnau le médoc, dojo CastelnaudaisTout l'été
Mardi : 19h00 à 20h30 Cardio / Renfo
Mercredi : 17h00 à 17h45 Baby et Eveil
18h00 à 19h00 Mini poussins, Poussins et Benjamins
Jeudi : 19h00 à 20h30 JUDO pour les Minimes et +
Baby à SeniorsFrédéric Lavigne alias Tonton Fred et Gabriel Saynac alias Gabi 😉GratuitRenseignements auprès de Préscilla GRIS
Secrétaire Dojo Castelnaudais
06 71 39 67 43
e-mail :
Cours d'été37 (Centre Val de Loire)Tout le département : Lundi :
19h - 20h30 à Sonzay
19h - 21h00 à Bléré
Mercredi :
19h - 21h00 à Bléré
Jeudi :
19h30 à 21h00 à Ballan
19h30 à 21h00 au Beffroi (Tours Nord)
Vendredi :
19h30 - 21h00 à Sonzay
Juillet, les lundis, mercredis, jeudis et vendredisn.c.n.c.Gratuitn.c.
Cours d'été34 (Occitanie)Mauguio, Dojo Ferrari, rue Jacques BrelTout l'été - du 12 juillet au 23 août, les lundis PPG de 18h30 à 19h15
- Judo 19h30-21h00
Cadets et + (minimes 2 acceptés)n.c.GratuitJérémy ChiaroPo
06.28.45.26.24
Cours d'été36 (Centre Val de Loire)Indre, un dojo différent chaque jour, voir l'affiche sur la carteJuilletEnfantsn.c.GratuitVoir le site de la ligue : http://www.ligue-centre-val-de-loire-judo-jujitsu-da.fr/evenements.html
Stage38 (Auvergne Rhône Alpes)GrésivaudanAoût - 24 au 28Cadets à SeniorsCédric Revol, Kilian Le Blouch et tous les athlètes de Flam91150€Nicolas Chansseaume 06.85.74.94.30 ou
Cours d'été38 (Auvergne Rhône Alpes)RoussillonTout l'été, judo et JJB+ 13 ansn.c.n.c. ou sur la page facebook : Rhodia Club Loïc Lafont Judo JJB
Cours d'été43 (Auvergne Rhône Alpes)Le Puy-en-VelayTout l'été, tous les vendredis : 4-6 ans à 17h et 7-13 ans à 17h504 à 13 ansDominique CastanetGratuitLe professeur de judo : Dominique Castanet 06 71 00 56 80
Stage44 (Pays de la Loire)Saint-Brévin les PinsAout - 24 au 27A partir de CadetsHerin Lionel, Guillon Thierry, Cerisier Rodolphe, Got Severine, Morel Olivier, Imbert Quentin, Fleury Richard, Roussineau Matthieu200€ pension complète avec activités / 160€ pension complète (sans activités) / 120€ demi-pension avec activités /80€ demi-pension sans activité
Cours d'été44 (Pays de la Loire)Le Pouliguen - 24 bd Pierre de CoubertinTout l'été - mardi et jeudi de 19h à 20h30
sauf les 17 et 19 août
Ados et adultesViaud Yannick, 7e DAN.GratuitJudo Club Pouliguen,
Cours d'été44 (Pays de la Loire)Nantes, Dojo Nantais, Au dojo du petit port, chemin de la sensive du tertreTout l'été - ouvert tous les mardis et jeudi
à partir de 17h30 pour les enfants
à partir de 19h pour les adultes loisirs et compétiteurs.
Enfants et adultesAdrien HoussaisGratuitdojonantais.com
Cours d'été44 (Pays de la Loire)PontchateauTout l'été, les lundis et mercredis, de 18h à 19h30 pour les enfants et de 19h30 à 21h pour les adultes.Enfants et adultesn.c.GratuitSur le site du dojo Pontchateau
Cours d'été45 (Centre Val de Loire)Loiret, un dojo différent chaque jourTout l'été, selon le planning affiché sur la carte et sur le site de la ligue http://www.ligue-centre-val-de-loire-judo-jujitsu-da.fr/evenements.htmln.c.n.c.GratuitTout sur le site de la ligue http://www.ligue-centre-val-de-loire-judo-jujitsu-da.fr/evenements.html
Stage47 (Occitanie)Temple-sur-LotAout - 23 au 27Enfants (dès 9 ans) jusqu'à vétéransSeguin Jacques, Juan Jean-Louis, Desplans Martine, Delvingt Marc, Vigneau Alain / 06 81 55 94 14 OU / 06 95 45 34 00
Cours d'été53 (Pays de la Loire)MontsûrsJuillet (mercredi et vendredi 19h-20h30)Adultesn.c.GratuitAuprès de l'USCPM section judo
Cours d'été54 (Grand Est)Neuves-maisonsTout l'étén.c.Yohann HarmandGratuitClotilde WATELET-BESANÇON
06.07.99.73.57
Cours d'été55 (Grand Est)MeuseJuillet : jusqu'au 16Enfants et adultesPatrick, Cyrille et BenjaminGratuit / 06 68 22 14 40
Cours d'été56 (Bretagne)Ploermel, au Judo PlaisirTout l'été, les vendredis soirsn.c.Matthieu et Georges BoidinGratuitn.c.
Cours d'été56 (Bretagne)Caudan, Dojo du grand chêne, rue du grand chêneTout l'été, Les mercredi soir de 20h00 à 21h45 pour du judo, ainsi que de 19h15 à 20h00 pour du Taïso


Pour les judokas licenciés, ils peuvent venir s'entraîner et faire quelques randoris.
Adultesn.c.GratuitRenseignements auprès de Didier LE SAUX
Président Amicale Judo Morbihan
Tel 0684000587
Cours d'été57 (Grand Est)SERÉMANGE-ERZANGE
7 rue Jean Scheltienne
Tout l'été - Samedis, baby judo de 10h30-11h30

Lundis et vendredis, mini-poussins (17h45), poussins (18h30) et benjamins (19h15)
Baby Judo à Benjaminn.c.GratuitLise Knoll :
06 69 20 25 55
06 34 62 38 59
Cours d'été57 (Grand Est)MetzJuillet - 6 au 22, les mardis 18h30 à 20hMinimes et +n.c.GratuitASPTT Metz, 1 rue des hauts peupliers
Cours d'été57 (Grand Est)ThionvilleTout l'été, les lundi mercredi et/ou jeudi de 19h à 22hGuenzi JeromeGratuitGuenzi Jerome
Directeur technique
Judo club thionville
0645685993
Cours d'été57 (Grand Est)Sarraguemines + Le Ban Saint MartinTout l'été, les mardi (PPG), mercredi, vendredi soirs.Adultesn.c.n.c. Pellegrini Eric
06-83-52-49-16

OU
Le Ban St Martin : Tel: 03-87-30-25-90
Stage59 (Haut-de-France)MaubeugeAout - 29 et 30VétéransHalabi Mohamed, Bachir Karim50€ (hébergement possible à l'Hôtel Campanile tarif sportif 0327640091)Mohamed Halabi -
Cours d'été59 (Hauts-de-France)Lille, Faubourg de Béthune Judo Club LilloisTout l'été, à partir du 7 juillet
le lundi et le jeudi de 18h30 à 20h00
Minimes et plusn.c.Gratuitn.c
Cours d'été62 (Haut de France)Marck, rue du stade (Près des terrains de tennis)Tout l'été - mercredis de 18h30 à 20h
jeudis de 19h à 20h
vendredis de 18h30 à 20h
samedis de 10 à 11h
Mini-poussins à adultesavec Laurent GarbeGratuitLaurent Garbe, 0645369440
Stage62 (Haut-de-France)Etaples-sur-MerAout - 27 au 29Ados et adultesBataille Matthieu et Tony, Preslier Jean-Louisn.c. / 06 63 59 26 07
Cours d'été62 (Hauts-de-France)Etaples-sur-mer
Dojo Matthieu Bataille Boulevard Descelers (côté parking)
Tout l'été - du 5/07 au 05/08
Les lundis : 5 juillet, 12 juillet, 19 juillet, 26 juillet, 2 août : 19h15 à 20H30
Les jeudis : 8 juillet, 15 juillet, 22 juillet, 29 juillet, 5 août : 19h00 à 20h30 puis jusqu'à 21h00
Benjamins à Seniors Jean-Louis PreslierGratuitn.c.
Cours d'été62 (Hauts-de-France)Hesdin
Boulevard militaire (dojo se situe à côté de la salle du Manège)
Tout l'été - du 5/07 au 03/08
Les mardis 6 juillets, 13 juillet, 20 juillet, 27 juillet, 3 août de 18h30 à 20h30
Benjamins à Seniors Jean-Louis PreslierGratuitn.c.
Cours d'été63 (Auvergne Rhône Alpes)Vic-le-ComteJuillet - 5 au 24 / judo et sport tous les jours (voir l'affiche) pour les non-adhérents : offre découverteenfants et adultesn.c.20€Judo Club Vicomtois :
Cours d'été63 (Auvergne Rhône Alpes)Martres de VeyresTout l'été4 ans à adultesn.c.GratuitSur le site du club des Martres de Veyres ou par mail :
Cours d'été63 (Auvergne Rhône Alpes)Thiers OU Puy GuillaumeTout l'été - du 9/07 au 20/08, les vendredis 18h30 (4-8 ans) et 19h30 (9 ans à adultes)De 4 ans à adultesn.c.Gratuit06 63 69 52 86
Cours d'été66 (Occitanie)Perpignan, 53 rue Ernest RenanTout l'été -
Entraînement les LUNDIS et MERCREDIS de 19h00 à 21h00
(partie ppg en exterieur donc prévoir tenue sportive et chaussures de sport, plus le judogi).
Minimes et plusn.c.GratuitFacebook de Christophe Serra
Cours d'été66 (Occitanie)Canohès ToulougesTout l'été, tous les mercredis de 15h30 à 21hTous les niveauxn.c.n.c.Tous les renseignements sur : https://ject66.wixsite.com/canohestoulouges
Cours d'été67 (Grand Est)Châtenois, Dojo club Shinsei dojo de l'Espace les Tisserands, 4 Parvis Charles-Louis MarchalTout l'été, Mercredi (à compter du 21 juillet ):
18h-19h : Taïso
19h-20h30 : Jujitsu/ self défense (tout niveau)
Vendredi (à compter du 16 juillet)
18h-19h : judo débutant
19h-20h : judo confirmés
20h-21h30: judo compétition et adultes
n.c.Didier Baumeister et Philippe LegerGratuitRéférent Christophe Spinner, 0618035716,
Cours d'été69 (Auvergne Rhônes Alpes)Albigny sur Saône - Maison des Associations
Voie Nouvelle
Tout l'été - 4-5 ans : mercredi de 17:00 à 18:00
Mini-poussins et poussins (6-9 ans) : mardi et vendredi de 17:30 à 18:30
À partir de benjamins, minimes, cadets, juniors, seniors (10 ans et plus) : mardi et vendredi de 18:30 à 20:00
À partir de minimes : Cours technique katas le mercredi de 18:00 à 20:00
De 4 ans à vétéransn.c.GratuitContact : Philippe Cance / 06.21.64.25.31
Stage71 (Bourgogne France Comté)Saint-MarcelAout - 16 au 21VétéransTaurines Philippe100€ externe, 160€ demi-pension, 330€ interne. / 06 16 01 37 32
Stage74 (Auvergne Rhône Alpes)BellevauxJuillet - 19 au 1er aoûtCadets, Juniors, Seniors, VétéransDragin Dimitri280€ demi-pension, 350€ interne
Stage74 (Auvergne Rhône Alpes)BellevauxAout - 20 au 27+14 ansn.c590€https://www.myjudo.fr/judok-aventure
Stage74 (Auvergne Rhône Alpes)BellevauxJuillet - 2 au 9-14 ansn.c590€https://www.myjudo.fr/judok-aventure
Stage73 (Auvergne Rhône Alpes)Valloire, hôtel "Le tatami"Juillet - 11 au 16à partir de 12/14 ansn.c. (judo traditionnel)80€
Cours d'été76 (Hauts de France)Criel-sur-merTout l'été - les lundis et vendredis en fin de journée4 ans à adultesn.c.10€ de participation pour les nouveaux
Cours d'été76 (Normandie)Le HavreJuillet - 21 à fin Aout (mercredi 19h - 20h30)AdultesDestin ThomasGratuitJudo Perrey Guerrier
Cours d'été76 (Normandie)Rouen, Rive Gauche, Gymnase MandelaJuillet - LUNDI : 19h-21h30 Ju-jitsu
MERCREDI : 19h30-21h Judo
VENDREDI : 19h30-21h Judo
AdultesChan TimGratuitAuprès du professeur, Chan Tim :
Cours d'été80 (Hauts de France)Abbeville, Judo Club Abbevillois-JCA,
Dojo du Centre Omnisports, 19 rue Josse Van Robais
Tout l'été, les Jeudis de 19h30 à 21h, cours de KENDOpratiquants de KENDOn.c.n.c0682933151
Cours d'été80 (Hauts de France)Friville-Escarbotin, Dojo Arago, 15 rue AragoTout l'été, les mardis de 19h à 20h30 et samedi de 10h à 12h, cours de KENDOpratiquants de KENDOn.c.n.c0682933151
Cours d'été81 (Occitanie)Marssac, judo club marssacois, Complexe Omnisports
Rue Tonimarié
Juillet, Circuit training le lundi de 19 à 20h
Judo les mercredis de 19h30 à 21h (hors 14 juillet)
Ados et adultesn.c.n.c.06 33 38 50 04 ou http://judoclubmarssacois.com/
Stage83 (Provence Alpes Côtes d'Azur)AupsTout l'été - du 12/07 au 13/08 (semaine au choix, semaine 4 COMPLET)Minimes à SeniorsSchmitt Alain, Duprat Pierre, Malossane Thierry, Escaillas Fabien, Trompille Stéphane300€ la semaine, dégressif si plusieurs semainesAgnès :
06.27.48.94.32
Stage84 (Provence Alpes Côtes d'Azur)AvignonAout - 16 au 20Minimes à SeniorsBuisson Jérémy, Maufrais Claire220€ (et 180€/personne si équipe de 5)www.villeneuve-judo.com ou 06 48 15 83 16
Stage85 (Pays de la Loire)Faute-sur-MerAout - 24 au 28Benjamin à Seniorsn.c.220€ pension complètehttps://www.kawatokan.fr/stage-d%C3%A9t%C3%A9-2021
Cours d'été85 (Pays de la Loire)La Roche sur YonTout l'été (sauf 3 et 5 août), les mardis et jeudis, 19h à 20h30Minimes à Vétéransn.c.Gratuitn.c
Dojo impasse Guillemot
Cours d'été85 (Pays de la Loire)Saint Gilles Croix de VieTout l'été - mardi et vendredi 19h - 21hAdultesGuillet Enzo, Martineau Jean-Luc, Violleau ThomasGratuitContact : 07 61 71 16 22
Cours d'été88 (Grand Est)Vosges (dojo tour, voir le tableau indiqué sur la carte en cliquant sur le dojo bleu situé dans les Vosges)Tout l'été - du 24/07 au 03/08Enfants et adultescf. tableau sur la carteGratuitLigue des Vosges
Cours d'été : "Dojo d'été"92 (île de france)Brétigny sur OrgeTout l'étéÀ partir de cadetsn.c.n.c.Comité Essonne Judo
Cours d'été974 (île de la réunion)Port (Ouest de l'île)Tout l'été - du 5/07 au 15/08
Lundi et vendredi 18h/20h
Minimes à SeniorsTaurillec SteevenGratuit

5 clés pour apprendre une technique de judo

5 clés pour apprendre une technique de judo

5 clés pour apprendre une technique

⏯ SPÉCIAL DÉBUTANTS - cliquez ici pour écouter 🎧

Bienvenue sur cet article-podcast : 5 clés pour apprendre une technique de judo, de façon plus facile et plus agréable.

C’est le 2ème épisode d’une série dédiée tout spécialement aux débutants. Cliquez ici pour découvrir cette série (1er épisode : dites adieu aux échauffements douloureux !).

Pas facile d’apprendre une technique de judo ?

Le professeur vous apprend une nouvelle technique mais vous vous emmêlez les pinceaux entre vos pieds, vos mains, la tête, le corps… Et comment se souvenir d’une séance sur l’autre ce qu’on a appris ? La sensation d’être perdu vous est peut-être familière si vous êtes débutant. Vous vous accrochez car vous aimez le judo, mais ce n’est pas toujours facile ! Arriverez-vous un jour à connaître toutes les techniques ?

La réponse est… OUI !

Suivez ces 5 clés pour apprendre une technique de judo.

Si vous les appliquez, vous devriez augmenter :

> votre plaisir de découvrir une nouvelle technique,

> votre facilité à apprendre n’importe quelle technique,

> l’efficacité des techniques apprises.

 

Pourquoi faut-il ces 5 clés pour apprendre une technique ?

Jigoro Kano disait :

« Un minimum d’efforts pour un maximum d’efficacité »

Est-ce qu’il nous encourageait à être feignant ?

Pas vraiment…

L’énergie est précieuse au point de l’utiliser exactement au bon endroit. C’est exactement dans cet esprit que j’ai défini 5 clés, valables quelle que soit la technique. Plus vous supprimerez de la difficulté dans l’apprentissage, plus vous aurez de l’énergie sur l’apprentissage lui-même. Et comme en judo, il faut quelques millions de répétitions pour maîtriser une technique, autant garder votre énergie pour ça !

Clé 1 : repérez le sens du mouvement

Cela peut paraître une évidence et si c’est le cas tant mieux. Trop souvent, un débutant ne ressent pas s’il s’agit d’un mouvement arrière, avant ou latéral. Même s’il l’effectue correctement, il n’a aucune idée du moment opportun pour l’utiliser dans un déplacement.

👉 Posez cette technique dans l’esprit du judo

Vous l’enregistrez beaucoup plus vite et en plus, vous « formerez » votre corps bien au-delà de la technique elle-même.
Ainsi, quand le professeur démontre la technique, et à fortiori lorsque vous allez, vous, la travailler, posez-vous 2 questions :

1- Où est-ce que votre partenaire va chuter ?

Va-t-il tomber sur son arrière, sur son côté, par devant ? Dans quel sens le corps de votre partenaire va aller ? On est souvent obnubilé par son propre corps. Mais penser au mouvement de son partenaire aide énormément.

2- À quel endroit est le vide, le « trou » ?

C’est-à-dire à quel endroit vous allez agir pour être efficace ?

Par exemple, sur Ippon seoi nage, où est le vide ? Il est exactement sous le nombril de Uke : c’est là qu’on peut agir s’il y a un espace. S’il n’y a pas de trou pour vous mettre dedans, vous ne pourrez jamais exécuter la technique. Par exemple, si votre Uke est penché en arrière, vous n’avez pas l’espace vide pour vous mettre dedans… En revanche, s’il est bien penché en avant, c’est idéal !

apprendre une technique de judo seoinage

Un autre exemple allez flagrant pour un partenaire qui serait très penché en avant, c’est Tomoe nage, communément appelé la planchette japonaise. Il est clair, dans ce cas, qu’on se jette dans le trou pour faire passer Uke au-dessus…

Sur un partenaire qui serait très penché en arrière, remarquez-vous que votre O’sotogari se loge dans le trou juste derrière la jambe de Uke ?

Cette notion de vide, de trou, n’est pas forcément évidente au départ. Pourtant, si dès vos tout premiers cours, vous vous efforcez de la repérer et de vous y habituer, vous allez apprendre beaucoup plus vite vos techniques. Elles seront aussi plus efficaces à long terme.

3- Facilitez votre placement global

Donc pour cette 1ère clé : au moment même où vous découvrez une technique, assurez-vous d’avoir repéré ces 2 éléments. Ils sont, bien sûr, totalement liés. Vos mains et vos pieds et tout votre corps doivent alors se placer naturellement à 50%… Vous n’avez plus qu’à vous concentrer sur les 50% restant pour les détails et la justesse du geste.

 

Clés 2 : autorisez-vous à apprendre par morceau

Dans le groupe privé Facebook (rejoins-nous si ce n’est pas encore fait, clique ici !), il y a une publication qui compare le judo au piano ! Si vous avez déjà pris des cours de cet instrument, vous savez qu’on ne commence pas par jouer des 2 mains à la bonne vitesse… et joliment ! Loin de là ! On doit d’abord travailler chaque main séparée et len-te-ment !

C’est pareil pour apprendre une technique de judo. Vous pouvez travailler vos mains, puis vos pieds… Et seulement lorsque vous vous sentez à l’aise avec l’un puis l’autre, alors vous les mettez ensemble. Vous allez encore devoir travailler pour que ça devienne votre corps entier cohérent… Et après ça, seulement, vous pourrez ajouter la tête, ou la position du poignet par exemple.

Vous pouvez travailler ainsi, par étape, sous 3 formes :

👉 avec votre partenaire, pendant l’entraînement, il sera sûrement d’accord

👉 avec vos enfants ou votre conjoint.e, à la maison ! En guise de démonstration ou de jeu… L’humour dans le judo, ça aide aussi !

👉chez vous, tout seul. Vous n’avez alors pas besoin d’en faire des heures… Ne serait-ce que 5 minutes 2 ou 3 fois dans la semaine, c’est déjà super. Sachez que répéter tout seul vous oblige à imaginer votre partenaire. C’est un travail extrêmement fructueux, qui donne des résultats ! Ça met en lumière tout ce que vous ne maîtrisez pas bien donc pas d’inquiétude, persévérez.

Clé 3 : le secret des 10 répétitions

Le plus gros problème parce que le plus récurrent chez les débutants, c’est d’être frustré de ne pas réussir dès la 1ère application. Vous posez mille questions, vous voulez tout corriger tant vous avez le souci de bien faire ! C’est une belle qualité. Mais dans l’apprentissage technique, c’est une qualité qui vous freine.

Cette semaine, je travaillais Uchimata avec une jeune ceinture jaune et dès la 1ère fois qu’elle a entré le mouvement, elle a tout de suite dit :

« Non c’est pas ça », puis « mais j’y arrive pas ! »… « pourquoi je ne peux pas te soulever ? »

Vous ne pourrez jamais corriger tous les détails si chacun d’entre eux est en mode découverte.

1- Commencez l’apprentissage par la répétition

Vous êtes passés par l’astuce 2 : vous avez travaillé vos mains, vos pieds, et vous en êtes donc à tout mettre ensemble. Répétez alors au moins 10 fois l’ensemble même si vous avez l’impression que ça ne va pas du tout. Ce n’est pas grave ! Ce n’est pas en 10 fois que vous allez prendre de mauvaises habitudes… Par contre, c’est en 10 fois que vous allez gagner un peu d’aisance. Avec ce petit bout de fluidité acquise, ce sera alors le bon moment de vous corriger. Après ces 10 premières fois, vous pouvez vous dire : ok maintenant, je dois déséquilibrer uke de cette façon. Vous ajoutez cette correction et encore une fois, vous répétez 10 fois sans le moindre commentaire… Si vous ne sentez pas le déséquilibre qu’on vous a indiqué, ou que vous êtes vous-même déséquilibré, ce n’est pas grave ! On est dans une phase d’apprentissage, de découverte. Ça va venir…

Un énorme avantage de travailler par séquence de 10, c’est que vous développez vos propres sensations. Une fois sur deux, à la fin des 10 fois, vous y arrivez beaucoup mieux, par vous-même ! Sans que personne n’ait rien dit ! Parce que vous avez 10 fois pour répéter, ressentir, ajuster.

2- Au fur et à mesure…

Donc vous l’avez compris, ici la clé vraiment très importante, c’est de ne pas vouloir une technique parfaite dès le départ, ne pas tout corriger à chaque entrée. Au contraire, entrez 10 fois pour chaque petite correction qu’on vous apportera.

👉 Vous n’allez pas prendre de mauvaises habitudes, on vous corrige toutes les 10 fois, vous êtes dans la phase de découverte

👉 Vous assimilerez plus facilement les corrections qu’on vous donne car la précédente sera acquise

👉 Vous découvrirez, souvent, par vous-même, les ajustements à faire. Et ce dernier avantage est capital car il va servir tout votre judo dans sa globalité !

Clé 4 : Choisissez un bon partenaire !

Peut-être qu’on ne l’explique pas aux débutants, ou peut-être qu’en tant que débutant, on décrète d’office que c’est nous qui n’allons pas…

Pourtant, une chose est claire en judo : lorsqu’on travaille une technique, le partenaire qui nous sert de Uke peut tout changer. Et ça, c‘est valable pour tout le monde, pas seulement pour les débutants. Personnellement, je travaille avec beaucoup de partenaires différents et pour une même technique, je vais avoir l’impression d’être excellente avec certains Uke et le même soir, impossible de la passer avec d’autres. Pourquoi ?

1- Qui sont ces Uke mystérieux ?

D’abord, il y a la capacité d’Uke à chuter, à être à l’aise dans ses chutes. Si vous travaillez avec une ceinture noire qui n’a aucun problème à chuter, il va vous laisser faire l’exercice. Il pourra même vous aider en « prêtant son corps » comme on dit. Il va favoriser le mouvement que vous essayez de faire.

Si vous travaillez avec une ceinture de couleur qui a encore peur de chuter, c’est l’inverse. Et c’est normal. Si on n’est pas à l’aise, on craint d’avoir mal en chutant, alors le corps se crispe et se bloque. Ce sera extrêmement difficile pour vous d’apprendre la technique. Même si l’exercice est sans chute, le partenaire qui a peur se crispe par réflexe.

Enfin, vous pouvez rencontrer des partenaires qui n’ont pas l’habitude et qui sont tout mous. Ils ne tiennent pas leur corps, et c’est également impossible d’apprendre correctement avec ces Uke.

C’est très important d’avoir conscience que votre Uke compte dans votre apprentissage parce que cela va justement économiser votre énergie : vous allez éviter de vous tracasser pour rien.

2- Les solutions pour optimiser son apprentissage

👉Si vous avez le choix, choisissez des partenaires que vous savez « bons ». Ils sont dynamiques mais pas durs, ils chutent facilement, ils vous aident à sentir le mouvement.
👉Si vous n’avez pas le choix, ne vous énervez pas contre vous-même. À l’inverse, ressentez les difficultés liées au partenaire. Vous pouvez bien sûr lui demander gentiment quelques adaptations s’il peut. Dans tous les cas, travaillez tranquillement ce que vous pouvez. Dites-vous, par exemple, qu’à défaut d’avoir l’impression de réussir la technique, vous vous habituez au placement des pieds, des mains etc. Soyez esprit judo : trouvez toujours une opportunité pour ne pas rester bloquer.

5 : Faîtes du lien entre chaque phase d’apprentissage

Dédicace pour tous ces jeunes judokas qui regardent leur professeur démontrer pendant 5 ou 10 minutes une technique en la répétant 10, 15, 20 fois… Et qui arrivent face à leur partenaire en disant « je dois faire quoi ? ». Les voilà tout bloqués, sans savoir comment commencer…! L’énergie a-t-elle été vraiment utilisée de manière efficiente ? Mmmmh…

Autre dédicace pour les judokas qui finissent le cours avec une technique à peu près acquise mais qui, la semaine suivante, sont incapables de dire ce qu’ils ont appris…

Qu’est-ce qu’il se passe ?

1- Les 3 phases :

On peut dire qu’il y a 3 phases d’assimilation d’une technique en judo. L’observation, la pratique, et la mise en application.

👉 Observer votre professeur, c’est enregistrer avec vos yeux et votre tête qui pense…

👉 Pratiquer en exercices techniques, c’est continuer de fonctionner avec ses yeux et sa tête mais pour faire marcher le corps.

👉Mettre en application durant les randoris, c’est laisser votre corps agir et oublier vos yeux et votre cerveau car ça va plus vite.

Ces 3 phases d’assimilation d’une technique doivent pouvoir déboucher sur une utilisation en situation réelle, ce que Jirogo Kano appelait test d’efficacité. On peut parler de phase 4. C’est la compétition où seul le corps parle, tout va très vite avec tension, stress, agressivité.

2- Quels liens et comment les faire ?

Le problème est que souvent, ces 3 phases d’assimilation sont vécues comme des phases indépendantes, séparées. C’est une énorme perte d’efficacité dans l’apprentissage, vous perdez beaucoup d’énergie. Il faut impérativement apprendre à faire des liens entre ces phases.

Comment ?

De l’observation à la pratique

Lorsque vous observez votre professeur, vous devez vous projeter vous-même dans la phase suivante. Vous devez vous voir à la place du professeur. Certains se placent à droite ou à gauche pour être dans le bon sens. Certains font discrètement le mouvement en même temps que le professeur pour déjà se projeter dans la phase suivante. Quand vous observez votre professeur, demandez-vous de quoi vous aurez besoin ? Où sont les pieds ? Où sont les mains ? Quel est le 1er déplacement ?

De la pratique à l’application

Après avoir répété quelques dizaines de fois (clé 3), dès que vous vous sentez un peu plus à l’aise, imaginez que vous êtes en randori… Il s’agit d’imaginer, juste dans sa tête. Dites-vous,  » tiens, si je suis en train de combattre… » et hop, vous rentrez votre répétition. C’est là qu’on va voir si la clé 1 (bien connaitre le sens du mouvement) a été utilisée !

Lorsque je fais randori avec une ceinture blanche, que je vais tout doucement et que je laisse volontairement ma jambe devant, toute seule, sans bouger… Ce n’est pas normal que cette personne ne voit pas que c’est l’occasion rêvée de faire O’soto gari qu’on vient d’apprendre ! Bien sûr, quand je le lui dis, elle le comprend et après elle peut le faire… Mais si vous utilisez cette clé 5, vous êtes autonome dans la mise en application en randori… Vous l’appliquez par vous-même tout de suite. Vous gagnez donc beaucoup de temps, de plaisir et d’efficacité dans l’apprentissage !

La conclusion pour ces 5 clés

Qui est prêt à les mettre en place et à nous dire ce que ça donne ? Ce que ça change ? Le but, vraiment, c’est que vous puissiez prendre plus de plaisir dans l’apprentissage. Plus de plaisir, ça entraîne un apprentissage plus efficace. Et quand on est plus efficace, on a aussi plus de plaisir !
Alors mettez en place ces clés : l’apprentissage reste et restera une phase qui n’est pas évidente, mais ça doit être du plaisir et il ne doit pas y avoir de peine ou d’efforts ou de tracas là où il n’y a pas lieu d’être !

N’oubliez pas :

1- C’est quoi ce mouvement dans le judo ? Quel sens ? Quel vide ?
2- On fait comme les pianistes, on découpe chaque partie du corps pour voir ce que ça donne avant de mettre le tout ensemble
3- Pas de pression à tout corriger et tout réussir tout de suite ! Au contraire, 10 répétitions avant de faire une correction… Avec le plaisir de faire évoluer soi-même son apprentissage.
4- On profite des super partenaires pour développer nos sensations dans l’apprentissage et on fait ce qu’on peut avec les partenaires moins faciles, il y a toujours à travailler… Mais pas d’auto-flagellation, le judo c’est à 2 !
5- Enfin, on crée des liens entre les phases d’apprentissage pour que ça aille plus vite, que ça soit plus efficace, pour être plus à l’aise.

 

MERCI

Merci de votre lecture. Laissez un petit commentaire pour que je sache si cet article/épisode vous a aidé. Posez les questions auxquelles je n’ai pas répondu. Vraiment, je ferais tout pour que les débutants prennent plaisir sur leurs premiers mois / premières années de pratique ! Aidez-moi à développer cette série spéciale pour les judokas débutants.

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Comment programmer sa préparation judo ?

Comment programmer sa préparation judo ?

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Bienvenue sur cet article (épisode audio) : vous allez révolutionner vos programmes de préparation judo !

1- Apprenez à construire une préparation judo qui vous correspond… et efficace !

Tous ceux qui préparent une échéance cherchent à savoir comment s’entraîner afin d’être prêt le jour J. Prendre les conseils de l’enseignant, des autres judokas qui sont passés par là… Fouiller sur internet, regarder comment les meilleurs font… Finalement, on bricole ce qui peut-être la meilleure préparation judo. Mais bien souvent, on est pris de doutes ! Est-ce que je serai vraiment prêt le jour J ? Est-ce que je suis vraiment la meilleure des préparations judo qui existent ? Les autres ne font-ils pas bien mieux ?

Ici, je vous présente une technique de construction de programme imparable. Suivez ces conseils pour ne plus avoir aucun doute durant cette fameuse préparation judo. Surtout, vous vous sentirez prêt le jour J. Essayez, et revenez nous raconter !

Je vais vous expliquer les 4 étapes à suivre, méthodiquement, pour être certain de pouvoir vous construire un super programme.
Juste avant, précisons ensemble : pourquoi se faire un programme ? Qu’est-ce qu’une bonne préparation judo ?

Si vous avez une échéance en tête, passage de grade ou shiai ou tournois, il y a 2 solutions.

1- Suivez votre bonhomme de chemin…

La première, c’est de ne rien faire de spécial et de continuer votre bonhomme de chemin. Le jour J, vous vous levez et vous y allez. Il y a fort à parier que ça ne marche pas forcément au mieux et que vous risquez d’être déçu… Même si ça marche en partie, vous allez, à priori, automatiquement penser que vous auriez pu faire beaucoup mieux si vous vous étiez préparé. Tous ceux qui se souviennent de leur toute première compétition l’ont vécu. On repart en se disant « ah, j’ai compris maintenant, je ne savais pas ça ou je dois travailler ça, etc ». Donc si vous n’êtes pas convaincu de l’utilité d’une préparation judo, allez à votre échéance tranquillement et voyez votre ressenti après. Normalement, vous allez avoir envie de vous préparer pour la prochaine fois ! Pourquoi se faire un programme ? Tout simplement pour ne pas être déçu de soi-même !

2… ou préparez-vous !

Passons donc à la deuxième solution : vous avez conscience que vous devez vous préparer. La question repose plus sur le comment ? Qu’est-ce qu’un bon programme ?
Dans la grande majorité des cas, on fonctionne par mimétisme. Vous regardez ce que les autres font et vous répliquez. Vous choisissez les judokas que vous admirez ou en qui vous avez confiance. Si ça marche pour eux, s’ils le recommandent, c’est que c’est ce qu’il faut. Alors vous appliquez pour vous.

3- C’est ainsi que vous commencez à construire votre programme…

Fille en train de faire de la corde pour judokas

Si vous faites vos 2 entraînements au dojo par semaine, vous ajoutez 1 ou 2 fois la salle. Puis, vous décidez de faire des footings pour le souffle. Vous apprenez que le fractionné est plus adapté pour les judokas alors vous changez vos séances de footing. Et comme vous espérez avoir un bon kumikata, vous ajoutez quelques séances de muscu. Vous partez à l’assaut d’élastiques pour faire vos uchikomis comme sur les vidéos…

Vous travaillez dur. Vous faites évoluer votre programme au fur et à mesure. Et en arrivant au tournoi, vous espérez être prêt. Vous êtes convaincu que vous avez beaucoup bossé. Mais vous avez, dans le même temps, des doutes. Vous ne savez pas ce que ça va donner. Vous avez tout de même sauté quelques séances les jours de fatigue… Et puis les adversaires que vous redoutez se sont forcément beaucoup entraînés aussi.

4- Est-ce alors une bonne préparation judo ?

On a ces 2 sentiments qui cohabitent. Une sorte de fierté d’avoir fait de son mieux et un doute profond qui subsiste, on ne se sent pas sûr.

Alors on peut dire que ce n’était pas un BON programme.

Un bon programme, c’est le celui qui vous apporte de la certitude. C’est celui qui entasse tous vos efforts et votre travail dans des caisses de confiance en vous.

5- Alors comment faire ?

Je vais vous livrer les 4 étapes à suivre. Vous allez voir que plutôt que de faire un programme pour aller au tournoi, on va partir du tournoi pour construire son programme. Oui. On va faire les choses dans l’autre sens.

👉 Étape 1 : c’est quoi une compétition réussie ?

Prenez votre jour J et listez tout ce dont vous avez besoin pour être prêt. Vraiment tout !

Par exemple, j’ai besoin… :
d’un sac bien fait
De connaître comment je dois m’échauffer
d’être endurant
d’être rapide
d’avoir confiance, de me sentir sûr de moi
d’assurer 2 techniques fortes
etc…

Sur cette 1ère étape, vous ne pouvez pas écrire trop donc allez-y au maximum. Visualisez votre tournoi, imaginez votre état, et notez tous ce que vous aimeriez pour que ça se passe merveilleusement bien. Ne vous limitez pas ! Vous pouvez bien sûr accentuer certaines parties (technique, stress, etc.) qui prennent beaucoup de place chez vous. Mais dans tous les cas, passez en revue tous les domaines, n’en négligez pas !

👉 Étape 2 : j’identifie et organise mes besoins

Faites le tri ! Faites des catégories et surtout, rangez-les par priorité. Tout est important, mais vous devriez remarquer que certaines choses vont vous demander plus d’efforts que d’autres. Vous pouvez faire de belles cases avec un gros titre pour chacune, et dessous les petites lignes que vous aviez écrites durant l’étape 1. Ces belles cases sont ordonnées : ce sont donc vos besoins les plus importants.

👉 Étape 3 : je décide des moyens

À côté de chaque case, notez ce que vous devez faire pour être prêt. Quels exercices ou quelle attitude vous devez développer. Durant les entraînements au dojo mais aussi pour les autres jours. Ne notez pas la quantité ni la fréquence durant cette étape, juste l’exercice en lui-même.

Voilà des exemples d’exercices, de moyens :

Uchikomis / méditation / respiration / étirements / footings / pensées positives / sommeil / randoris / nagékomis / etc.

👉 Étape 4 : je planifie à la semaine

Étape finale et cruciale : la planification.
Prenez les exercices que vous avez décidé de faire et notez la quantité nécessaire par SEMAINE. Comme vous devez avoir sous les yeux le nombre de semaines que vous avez d’ici l’échéance, vous pouvez visualiser comment répartir vos exercices, selon les semaines. Vos semaines ne doivent pas être identiques. Elles doivent toutes comporter les différentes catégories mais dans des quantités variables selon que vous êtes loin ou prêt de l’échéance.

Bien sûr, le total de vos séances par semaine, toutes catégories confondues, doit correspondre à vos possibilités. Pour une préparation accessible et sérieuse, prévoir 7 séances toutes catégories confondues est déjà excellent.
Si vous prévoyez 5 méditations par semaine, 3 footings, 2 séances de muscu, 4 séances d’uchikomis et 3 entrainements de judo, alors vous savez que vous partez sur un rythme de 2 entraînements par jour ! C’est possible, mais il faut le savoir !

Par exemple :

Vous pourriez noter :
– 2 séances d’uchikomis seuls chez moi sans la semaine, soit 400 au total sur la semaine
– 1 séance de cardio par semaine avec sur les 2 premières semaines, footing endurance classique pour reprendre. Ensuite, footing fractionné parce que le jour J se rapproche.
– 1 méditation par semaine au départ, puis 2 et enfin 3 par semaine lorsque le jour J approche.
Etc.

Lire l’article « Le calendrier : un secret de champion ! »

2- Les 4 raisons qui vous rendront prêt :

Avec cette technique en 4 étapes, vous pouvez être certain de vous sentir prêt pour les 4 raisons suivantes.

1- Un itinéraire tracé qui libère votre cerveau

Vous avez construit votre programme à partir de votre échéance et de vos besoins tout comme on construit un itinéraire en partant du point d’arrivée que l’on veut atteindre. Vous avez ainsi sous les yeux un planning qui est, chaque jour, relié à vos besoins et vos objectifs. Vous pouvez facilement constater vos avancées vers ce jour J. Le chemin étant balisé, votre cerveau peut se concentrer sur ce qu’il a à faire. Il n’est plus encombré du stress de mal faire, de se tromper, d’essayer d’évaluer s’il avance bien ou non…

2- De la flexibilité pour plus de préparation

Au fil de la semaine, vous pouvez choisir chaque jour ce qui vous convient le mieux. Une des séances les plus difficiles physiquement ou bien une séance qui demande moins d’efforts mais beaucoup de concentration ? Une qui nécessite beaucoup de volonté ou bien plutôt une de routine ?
Lors des coups de fatigue ou démotivation, vous remplacez le « oh je suis nul, il faudrait que j’arrive à me forcer » par « ok, aujourd’hui, j’ai besoin de repos physique, c’est idéal pour caler ma séance hebdomadaire de respiration ». Ainsi, même à la fin d’une journée en creux, vous êtes fier de vous. Vous avez accompli une partie de votre préparation.
À l’inverse, les jours de pleine forme, vous pouvez vous dire « allez, je fais la grosse séance prépa physique aujourd’hui comme ça, ça sera fait pour la semaine ». Vos moments d’énergie vont être beaucoup mieux utilisés. Encore une fois, vous augmenterez votre sentiment de satisfaction.

Le planning en semaine booste les moments d’énergie et transforme les moments de creux. Vous pouvez vous sentir satisfait tous les jours sans exception. Se sentir fier de soi augmente la capacité d’entraînement !

3- Des quantités qui donnent confiance en soi

Ce planning écrit et bien mesuré vous permet de l’accomplir concrètement. Il n’y a plus de place pour la frustration de ne pas en faire assez. Lorsque vous avez réalisé votre séance de cardio en début de semaine par exemple, vous savez que votre part du travail est accomplie ! Sans planning hebdomadaire, votre cerveau aurait automatiquement pensé qu’il pourrait refaire encore, ou faire plus. On est ainsi fait : on minimise les efforts déjà réalisés pour ne voir que ceux qu’on n’arrive pas à faire. Et seul le planning hebdomadaire limite ce phénomène et aide notre cerveau à prendre la juste mesure de ce qui est accompli.

4- Vous êtes prêt.

Le jour J, vous arrivez avec un planning réalisé dans tous les domaines, suivant des quantités bien définies. Vos besoins sont satisfaits. Vous pouvez facilement vous dire « je suis prêt, j’ai fait toutes mes séances« . Ce qui est très important, c’est que ce « je suis prêt » devient par rapport à vous-même et non par rapport aux autres. « Je suis prêt » veut dire que vous êtes en adéquation avec vos propres ambitions. Vous savez où vous en êtes et vous êtes prêt pour ce grand jour qui devient une étape dans votre progression globale.

3- Libérez votre stress grâce au programme

Pour tous ceux qui ont un niveau élevé de stress et particulièrement pour les enfants accompagnés par leurs parents dans ces échéances qui ont beaucoup d’importance pour eux, vous pouvez transférer l’inquiétude liée aux autres sur un objectif lié à vous-même.
Voilà comment procéder. Vous comprendrez en fin de processus pourquoi le programme compte autant sur votre niveau de stress.

1- La liste des inquiétudes

Notez avec beaucoup de sérieux tout ce qui peut vous inquiéter (ou inquiéter votre enfant). Aucun dénigrement ni même de tentative de raisonnement du type « mais non…, je suis bête de penser ça… ». C’est extrêmement important. Durant cette phase, tout est valable, tout est important. Prenez un vrai temps pour cela et allez au fond des questionnements. Qu’est-ce qui vous inquiète ?
Une fois cette (longue) liste réalisée, mettez-là de coté.

2- Vos pierres précieuses

Puis, dans un temps vraiment distinct, posez-vous alors la question suivante (ou à votre enfant) : pour moi et mon judo, qu’est-ce qui compte le plus ? Qu’est-ce qui me fait rêver ? Qu’est-ce que j’aime ? Notez simplement 2 ou 3 idées fortes, pas plus ! Il faut donc choisir les plus fortes, les pus solides, les meilleures.

3- Votre programme

Gardez la liste très longue des sources de stress dans la poche. Ils sont là, ils existent, ils sont tout autour comme des petites particules qui vous envahissent. Vous le savez, vous le voyez. Rien que parce que vous les connaissez, vous verrez qu’ils font moins peur et que ce ne sont pas forcément vos pires ennemis.
En revanche, ce que vous avez en vous, ce sont les 2 ou 3 éléments forts que vous avez choisis. Là, vous pouvez vous appuyer dessus. Votre cerveau peut se concentrer uniquement sur eux. Et alors vous savez que votre préparation, mesurée, adaptée et solide, est un point vraiment très fort. Vous savez qui vous êtes, ce que vous avez fait. Par rapport à vous-mêmes. Vous êtes prêt.

Lire l’article « Avoir confiance en soi au judo. »

Et vous ?

Planifiez-vous vos préparations par rapport à des besoins identifiés pour le jour J ?
Répondez dans les commentaires pour aider tous ceux qui doutent et qui ne savent pas comment faire… Souvent, ils n’osent pas poser leurs questions, alors aidons-les !

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